Vidéo de Lancement de Campagne

Publié le par Alexandre PISSAS

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Video Lancement campagne Part 1
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Video lancement campagne Part 2
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Vous pouvez également lire mon discours ci-dessous:

Discours prononcé du 5 février 2007 à Villeneuve les Avignon pour la présentation de la candidature d’Alexandre PISSAS.

 

 

Mesdames, messieurs les élus, chers collègues, chers camarades et chers amis.

 Je vous remercie très sincèrement de votre présence à toutes et à tous pour ce jour de présentation officielle de candidature à Gérard PEDRO et à moi.

 L’heure et le jour n’ont pas facilité la tâche sauf peut être pour nos amis de la presse. J’excuse les très nombreuses personnes qui m’ont témoigné par écrit ou par téléphone leur amitié les sénateurs, Sutour, Délfaut, Journet, le député Dumas, les conseillers généraux Denat, Flaissier et Prat, sans oublier notre ami Aimé Montal.

 Aujourd’hui, nous sommes réunis pour qu’ensemble nous puissions commencer à bâtir l’avenir de la 3ème circonscription du Gard qui comporte 81 communes réparties en 7 cantons : Bagnols sur Cèze, Pont St Esprit, Roquemaure, Aramon, Remoulins, Uzès et Villeneuve lez Avignon et qui comptent 150 000 habitants.

 Chers amis, notre volonté à Gérard PEDRO et à moi est grande de changer les choses tout comme nos camarades ici présents, les candidats Chantal Vinot, Françoise Dumas et Robert Crauste.

 Pour y parvenir nous pensons sincèrement qu’il faut faire de la politique autrement. Et pour cela il convient, à notre sens de changer de politique et peut être de changer LA politique.

 

 

I.                     Changer de politique.

 Mesdames, messieurs, je ne veux pas ici vous infliger un catalogue de toutes les critiques, ce serait trop long, concernant la déplorable gestion de la France ni même restituer de façon exhaustive notre projet socialiste enrichi par le débat initié par Ségolène Royal et appliqué au Gard Rhodanien, mais quand même je ne peux pas m’exonérer du devoir qui me vient de loin, de ma jeunesse et de mon adolescence,, et qui me prend les tripes et qui me tenaille depuis 40 ans.

 Cette posture qui a pris la forme tour à tour de conviction politique, philosophique, morale, et même de foi mais qui a toujours eu comme dénominateur commun l’intime conviction que l’homme est le capital le plus précieux, que nous sommes fondamentalement égaux en droit et que le faible quelque soit ses défauts et même ses excès a droit au respect et à la protection. Ce qui conduit inévitablement à la notion sociale de solidarité et au-delà même de fraternité entre les hommes c’est à dire à l’indéfectible amour que chacun doit porter à son prochain.

 L’Abbé Pierre a été un moment de la conscience humaine.

 A l’opposé, mesdames, messieurs, comment accepter que celui qui gouverne depuis 5 ans, ose parler de changement et qu’il aggrave son cas en parlant de rupture et en « l’affublant de l’épithète de tranquille ».

 Mesdames, messieurs, ce candidat me faire peur, non pour moi, mais peur pour la république, peur pour notre ordre social, peur pour l’ordre républicain et je crains sincèrement que la dérive ne nous conduise droit dans le mur, celui de l’affrontement social.

 Contrairement aux promesses depuis 5 ans et plus, c’est la fracture sociale systématique qui s’aggrave.

 Chers amis, changer de politique c’est refuser la stagnation de notre pays, une croissance de 1.5%, une dette de 350 milliards d’euros. Un déficit commercial historique de 30 milliards. Changer de politique c’est refuser certaines baisses d’impôts pour certains décidés par l’Etat et alourdissant par leur transfert ceux des régions, des départements, des communautés de communes et des communes. En Ponce Pilate très partial et en favorisant les très riches. Changer de politique c’est s’attaquer réellement une fois pour toute et non au grès des survenues médiatiques au logement. Les gens ont droit au logement. Nous appelons ça le bouclier logement mais en pratique il convient de faire respecter la loi d’obligation pour les communes et rassurer ceux qui pensent qu’on pourrait remettre en question la cohérence territoriale car le savoir-faire des institutionnels de l’habitat social est grande maintenant. Et ne pas oublier aussi que des milliers de logements  sont libres, inoccupés et détenus par des accumulateurs qui refusent la solidarité et font monter les prix.

 Changer de politique, c’est reprendre le chemin de la foi. La gauche avait crée 80 000 emplois par an. Depuis 2002, il n’y a que 38 000 emplois crées par an et les chiffres qu’on nous assènent sont entièrement faux. Il n’y a qu’à voir autour de soi et interroger les maires qui n’arrêtent pas d’avoir des demandes de recommandations d’emplois pour en être convaincu.

 Les chiffres ne tiennent pas compter des gens en fin de droit et qui ne sont plus comptabilisés ; on ne tient pas compte des gens en formation qui se trouveront le bec dans l’eau à l’issue de celle-ci.  On ne tient pas compte des emplois précaires, des contrats à durée déterminée, à durée très déterminée, ultra déterminée, comme le veut de plus en plus l’ultra libéralisme, comme le veut le CNE et comme le voulait le CPE. Mais celui-là, on a eu sa peau !

 On ne tient pas compte des intérims, des temps partiels, des petits boulots.

 Changer de politique c’est lutter contre la précarité pour l’amélioration du pouvoir d’achat car le pouvoir d’achat est en berne.

 Changer de politique c’est assurer la sécurité. La sécurité n’a pas régressé, tous les chiffres sont là pour démentir les mensonges éhontés qu’on veut nous faire avaler. En 2006, les violences physiques ont augmenté de 9.9% et de 27% de 2002 à 2006. A cause de quoi ? de la désespérance et de la précarité, par la suppression de la police de proximité. Et ce n’est pas à coup de karcher qu’on fera respecter l’ordre républicain car ne l’oublions pas, c’est en premier lieu, les plus démunis, les plus mal logés qui  patissent de l’insécurité.

 L’environnement est négligé. Baisse de 22% de l’ADEME (Agence de défense de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie). Suppression des contrats Etat/Région pour les transports collectifs et surtout aucune pression nationale ou internationale sur les grandes puissances qui refusent de signer la convention de KYOTO au 1er rang desquels l’Australie et les Etats-Unis. Aucune Volonté affirmée en matières de développement des énergies renouvelables et d’économies d’énergies.

 Concernant l’enseignement et vous savez à quel point notre candidate Ségolène ROYAL pense que l’éducation et la formation sont un problème N°1 et bien,  l’avenir de la France est sacrifié, diminution des enseignants , d’éducateurs, suppression des emplois jeunes ; baisse drastique des dépenses par étudiant dans les Universités Françaises :

 -          7000 € en France et 11000 € en Allemagne.

 Le jeune est devenu synonyme de suspect. La recherche est en sommeil, la culture mise au pas. Voir ce qui s’est passé avec les intermittents du spectacle. 5 ans çà suffit ! Il est temps de changer de politique mais pas du tout le changement désiré par Mme PARISOT , M. SARKOZY frère et M. SARKOZY candidat car le changement qu’ils nous annoncent, qu’ils voient dans leur rêve c’est celui de l’avènement, de l’esclavage social, du renard libre dans le poulailler libre, de gagner de moins en moins pour l’immense majorité et de gagner de plus en plus pour l’infime minorité.

 Il faut en particulier, concernant  la 3ème circonscription, travailler en partenariat étroit avec les communes et les comités de communes, il n’est pas possible que le député se cantonne exclusivement dans sa boîte à l’Assemblée Nationale. Il doit sur le terrain, prendre l’attache permanente des élus locaux, au 1er rang lesquels les maires. L a 3ème circonscription est hétérogène,   chaque territoire a sa logique : le canton de Villeneuve fortement impliquée dans la Coga ;  Bagnols sur cèze, Pont, Roquemaure orientés vers la re-dynamisation du tissu industriel par l’agence de développement du Gard Rhodanien ; Remoulins, Aramon autour d’une communauté de commune industrialisée et centrée sur le Pont du Gard et sa pierre ; Uzès, un peu à part, très tournée vers le tourisme, l’artisanat local, la petite et moyenne industrie. Je me garderai bien de donner une feuille de route car c’est avec les élus concernés et ensemble que nous la tracerons. Notre choix a porté sur Villeneuve pour la présentation de la campagne, non par désir de provocation, mais bien pour affirmer l’identité de ce canton  dans la 3ème circonscription.

 Car au delà des élections législatives nous aiderons nos amis villeneuvois pour les municipales et les cantonales.

 Et nous en ferons de même à Bagnols sur Cèze, Uzès et Pont St Esprit.

 Et pour changer de politique, Mesdames et messieurs, nous avons l’intime conviction avec Gérard PEDRO qu’il faut changer la politique .

 

 

II.                   Changer la politique

 

 

   Changer la politique cela peut vous paraître présomptueux. Mais soyons lucides, nous souffrons, nous les représentants de la gauche parfois d’un décalage entre notre discours et les gens à qui il s’adresse. En un mot, entre l’émetteur représenté par le militant socialiste et le récepteur représenté par le peuple travailleur, il n’y a pas toujours un excellent rendement.

 Il convient de prendre l’engagement ferme et définitif qu’en toute circonstance, il faille évoluer dans la transparence absolue et le discours clair, seule la vérité est révolutionnaire disait GRAMSCI. Comment défendre le monde du travail quand certains de nos discours ne font plus référence au monde ouvrier ? Certes, le parti socialiste est à l’heure actuel  le seul parti capable d’être en situation de fédérer les forces de gauche pour gouverner. Mais ce serait une erreur et une tromperie que de vouloir transformer ce rôle moteur en hégémonie.

 Je suis socialiste et tous les socialistes sont ici présents. Je ne suis pas radical de gauche, communiste, républicain citoyen vert et pourtant les camarades militants du parti radical de gauche sont ici, des communistes, des républicains citoyens des verts sont là.

 Et même, je suis certain des hommes et des femmes de bonne volonté qui ne partagent pas au départ nos idées sont  là et ils sont indispensables pour amener leur pierre à l’édifice commun de la République et éviter que notre pays ne devienne les USA à la mode BUSCH ;

 Et tout faire donc, pour élire à la présidence de notre pays, Ségolène ROYAL . Pour changer la politique et relever ce challenge, il convient de ne pas perdre de vue 3 choses :

  a)       changer notre méthodologie

 b)       aller au fond des choses dans l’analyse même au prix du désagrément

 c)        avoir le courage de dire ce que l’on pense en dépit de la pensée unique majoritaire du moment

   

 

 a) changer notre méthodologie : sans être un pion ou un soldat, il faut être au service des gens. En les écoutant. Et quoi de plus noble que les débats participatifs et la démocratie participative. C’est l’attente que notre candidate Ségolène ROYAL a fortement perçue de façon intuitive  et même sensuelle de la part de nos concitoyens et nous exhorte à le faire.

   

 

b)  Il faut aller au fond des choses et ne pas avoir peur de le faire. Je vais prendre 2 seuls exemples, l’agriculture et la santé.

 L’agriculture va mal. les agriculteurs souffrent comme ils n’ont jamais souffert . Et  je partage les craintes de notre président ALARY, à l’idée que la détresse de nos viticulteurs ne se double d’une défiguration de nos paysages méditerranéens et gardois. On arrache tout après avoir planté. On conseille ici de revoir les problèmes douaniers, on conseille là de faire de la qualité comme si jusqu’à maintenant on n’en faisait pas. On conseille aux caves de se rassembler. C’est bien! C’est mieux !

 Mais à mon avis le mal n’est pas là, je ne pense pas qu’il soit suffisant d’alléguer le Chili, l’Argentine, la Californie , l’Australie et que sais-je. Il faut m’expliquer pourquoi et comment , du jour au lendemain, s’est organisée la mévente et qui a intérêt à cette mévente.  Les mêmes qui l’organisent ne sont-ils pas prêts là par le relais des grandes surfaces ou plus tard par leurs plates formes financières prêts à mettre la main sur les terres quant elles ne vaudront plus rien.

 On a rejeté dans le salariat (pas comme les serfs mais pas loin) de nombreux petits et moyens exploitants agricoles en pratiquant au passage un toilettage  des terres arables. Quant on aura divisé par 3 le nombre d’exploitants agricoles, les institutionnels de l’argent, l’oligarchie financière est prête à mettre la main sur le vignoble français. Les ventes reprendront et on ne sera pas pourquoi. Beaucoup le savent, eux.  Beaucoup s’y résignent  parce que c’est la loi du marché. Je refuse la résignation.

   

Autre sujet : la santé

 Le problème pourrait être analysé de façon similaire sans exagération ni caricature. Les grandes compagnies d’assurance florides à l’heure actuelle n’arrivent toujours pas à digérer les ordonnances de 1944, instituant la sécurité sociale ; car elles estiment qu’elles ne récupèrent pas leur part du gâteau c’est à dire le profit qu’elles seraient en droit d’attendre dans la production et la distribution des soins.  

 La production et la distribution des soins, en ville, en clinique ou dans les hôpitaux sont du ressort des infirmières, aides-soignantes, kinésithérapeutes, médecins etc…  Ces institutionnels de l’argent rêvent de mettre la main et sur les hôpitaux publics et les cliniques qui ne sont, sommes toutes que des PME. Ils ont commencé à le faire. Et pour simplifier leur tâche, le gouvernement actuel pour mieux préparer la mariée, essaye de promouvoir au prétexte d’économie ou d’efficacité,   en réel dépit du bon sens, des pseudos rapprochements ou fusions entre établissement , réduisant  au passage le personnel et l’offre de soins alors que l’on sait le temps qu’il faut attendre aux urgences ou même pour prendre un rendez-vous de consultation en ville avec un ophtalmo. Cette fusion, ce rapprochement, ou ces fermetures, c’est l’anti-chambre de la vraie et grande privatisation. Les personnels soignants, libéraux ou publics ne deviendront que les salariés de grandes entreprises distributrices de soins adossées à AXA, Générali, Allianz ou autres. Et que l’on ne se méprenne pas, la générale de santé ce n’est que le cheval de Troie de la privatisation. Grattez la générale de santé et vous trouverez le vrai mistigri !S’ouvrira alors une ère glorieuse du profit sur la maladie et une ère de misère sanitaire pour les pauvres. Cet exercice, on peut l’étendre sur l’éducation car les prédateurs s’attaqueront le moment venu au dossier de l’éducation. La politique des petits paquets en quelque sorte. Déjà les fusions pointent sous couvert d’efficacité  puis la scélérate obligation faîte aux communes de financer les établissements privés.

    

c)  Pour changer la politique c’est avoir le courage de dire même en dissonance avec la pensée unique.

 La liberté de penser ne se délègue pas mais surtout ne se négocie pas. SARKOZY a adopté un alignement atlantiste éhonté, il faut réaffirmer notre indépendance au travers de notre patrie et de l’Europe et  peu importe si certains y trouveront des accents gaulliens.

 

 

Aggravant ses positions politiques il s’est englué dans un obscurantisme philosophique. Caresser dans le sens du poil les adeptes de l’église de la scientologie, c’est dangereux. Porter atteinte à la laïcité, c’est indigne. Pousser un député de son entourage à essayer de promouvoir une loi sur le délit de blasphème, c’est ignoble. Bien sur, le député aurait dû se méfier car d’homme  lige de SARKOZY , on devient vite Sarkoziste de bistro.              

Changer de politique, c’est parler vrai , c’est parler sans peur. C’est dire même si cela risque d’être récupéré à défaut d’être mal interprété, que le travail est une valeur fondamentale de notre pays et que je comprends les gens qui gagnent très peu d’argent en travaillant et qui ne comprennent pas qu’on puisse gagner plus en ne travaillant pas.  Mais à qui la faute ? A ceux qui ne travaillent pas et qui le voudraient ? Ou à ceux qui organisent le non travail, c’est à dire qui licencient, dégraissent, « modernisent », délocalisent… ? Il faudra une loi claire la dessus. C’est avoir le courage de proclamer qu’être favorable à la loi des 35 heures, ce n’est pas un hymne à la paresse au contraire « il n’y a pas d’idéal plus noble que celui d’une société  où le travail sera souverain ». disait le grand Jean JAURES. Non, le travail est la vraie valeur sociale d’une démocratie, la vraie valeur d’une société socialiste. Mais, il cesse de l’être si il devient l’instrument de l’exploitation de l’homme par l’homme.  Et par conséquent, ce n’es pas une honte que de dire avec courage et lucidité qu’il faut avec une autre optique réexaminer et trouver des solutions collectives aux problèmes engendrés par l’instauration des 35 heures pour les établissements publics hospitaliers et pour les petites entreprises, les petits commerçants, les artisans qui travaillent  comme des chiens et qu’à tord on assimile aux exploiteurs des grandes sociétés, et qui se laissent eux aussi berner alors qu’ils seront le moment venu, une proie facile.

 

 En fin changer la politique, c’est avoir l’humilité de penser que seul on ne peut rien et que l’on ne sait pas tout et que l’on ne peut pas tout savoir. Notre peuple en a marre « des messieurs je sais tout ». On doit avoir le courage de dire que le rôle d’un homme ou d’une femme politique ce n’est pas de tout savoir, sur tout, mais de s’entourer d’une équipe qui vous aide,                                       vous éclaire, vous enseigne, vous corrige. Le sage cherche la vérité. L’imbécile pense l’avoir trouvée. C’est ainsi, qu’entouré d’un staff, d’une équipe de campagne nous pourront gagner tous ensemble. Cette  équipe repose en premier lieu sur la commission administrative de la section à laquelle j’appartient : BAGNOLS CAMPAGNE ; puis sur des hommes et des femmes, mon suppléant ,Gérard  PEDRO, maire de Remoulins, le directeur de campagne, Jean VIDAL Vice Président du Conseil Général du Gard, le coordinateur, Jean Yves CHAPELET, assisté de Christine LEGRAND et d’Alexandre PEREZ ;  le mandataire financier Pierre BESSON. Cette équipe possède en son sein l’ensemble des secrétaires de section de la 3ème circonscription, les conseillers Généraux,  Patrice PRAT, Denis BOUAD, la conseillère Régionale  Marie CANET JANIN,  le 1er adjoint Jérôme TALON, auxquels viennent se joindre suivant les dossiers des personnalités compétentes dans   l’économie solidaire, la santé, l’habitat social, l’éducation et la formation, l’agriculture etc… Bien sur, les représentants du PRG, du  MRC ont de facto  leur place, et si ils me le demandent du PCF et des verts. 

Au delà de cette équipe opérationnelle et décisionnelle, il y a l’équipe de réflexion des 15 maires et adjoints des cantons du Gard Rhodanien qui m’a très fortement soutenue depuis plusieurs années, qui m’a fait, qui m’a façonnée. Ils m’éclairent et sont l’expression permanente de l’attachement de leur population à nos idéaux. Faire de la politique, c’est être en tout et pour tout fidèle aux hommes et aux femmes, fidèle  à ses engagements, épris d’audace pour notre pays et pour le progrès. C’est la certitude que notre candidate sera élue, de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace, et notre pays et la 3ème circonscription seront redressés.              

 

 

Alexandre PISSAS

 

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M
 <br /> Sommes désolées et déçues de n'avoir pu participer, écouter et applaudir à un discourt si sensible et si empreint d'émotion, humanisme et rigueur.<br /> Nous l'avons écouté et lu avec beaucoup d'attention et intêret.<br /> Nous vous souhaitons une belle réussite dans toutes les démarches entreprises.<br /> Marie Baillet. Hélène Paulin.
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